Plus de 500 soldats, officiers et réservistes israéliens ont été tués dans la guerre en cours à Gaza depuis le 7 octobre, indique l’armée israélienne.
Le nombre de soldats tués s’élève à 501, la majorité d’entre eux ayant été tués lors de l’assaut du Hamas sur le sud d’Israël le 7 octobre.
Le 7 octobre, au moins 274 soldats et 38 agents de sécurité locaux (des civils mais comptabilisés dans la liste de Tsahal) ont été tués.
De plus, 167 soldats israéliens ont été tués depuis le début de l’opération terrestre dans la bande de Gaza, qui a commencé le 27 octobre.
Neuf soldats ont également été tués dans des attaques revendiquées par Hezbollah et le Jihad islamique palestinien à la frontière avec le Liban depuis le début des combats.
Deux soldats ont été tués dans des attaques en Cisjordanie.
La liste des 501 soldats tués comprend également un soldat tué par un tir ami en Cisjordanie, un soldat tué en raison d’un dysfonctionnement des munitions à la frontière avec le Liban, deux soldats tués dans un accident de char dans le nord d’Israël, ainsi qu’un certain nombre d’autres faits meurtriers survenus au cours de la guerre mais sans lien direct avec les combats, détaille le Times of Israel.
La liste de Tsahal ne comprend pas les 57 policiers tués lors de l’attaque du 7 octobre, ainsi qu’un officier tué lors d’une attaque à Jérusalem, et un autre agent tué lors d’affrontements avec des combattants en Cisjordanie.