Économie

Tunisie : Les jeunes avocats rejettent la loi de finances 2023

 L’association tunisienne des jeunes avocats exprime son refus absolu de la loi de finances de l’année 2023, dans la mesure où ''elle abuse du droit des citoyens, en alourdit les charges par des impôts et taxes '', outre son  incapacité à parvenir aux solutions susceptibles de redynamiser l’économie nationale et du budget, sans attenter à la subsistance des Tunisiens ''.

Dans un communiqué paru hier dimanche, 25 décembre, « après avoir pris connaissance de la loi de finances de l’année 2023, et de ses dispositions et mesures, inhérentes à la hausse de l’impôt, et à l’atteinte aux catégories vulnérables, ainsi qu’aux professions libérales qui vivent des crises constantes », l’ATJA « fait assumer l’entière responsabilité, au président de la république et à l’actuel gouvernement ».
L’association appelle « le Conseil national de l’ordre des avocats et la conférences des bureaux régionaux, à opter pour les mesures, les formes militantes appropriées et '' l’escalade '', eu égard à « la gravité de la situation économique et sociale, et aux répercussions de ce type de lois sur la subsistance des Tunisiens, et leur pouvoir d’achat ''.